The you show

Le spectacle très dynamique de Crystal Pite provoque chez le spectateur un état de catharsis : il se projette dans le danseur, un superhéros en collant qui souffre après la performance une fois que l’adrénaline s’estompe.

— Alain Lalancette, Espace Ah !

Tels des courts métrages, les quatre duos d’interprètes de haut calibre multiplient les aperçus sur les nombreuses facettes de la relation humaine. En émerge des souvenirs, des histoires d’amour et de ruptures, traduisant aussi  bien la vulnérabilité des êtres que l’incroyable puissance de la machine humaine. Les quatre scènes, d’une longueur variant de 8 à 30 minutes sont là pour répondre à la question existentielle : « Qui es-tu? »

— Marie-Josée Boucher, Info-culture.biz

Que l’on parle d’un amour impossible, fusionnel ou puissant, les danseurs de The You Show parlent avec leur corps et dessinent le texte avec des mouvements. Dès lors, on se sent enrobé dans ces histoires qui prennent des formes cinématographiques, tout en transmettant des émotions puissantes par le biais des corps et de leur souffle.

— Alexandra Fiset, Québec Spot média

Si Crystal Pite n’était pas chorégraphe, elle ferait probablement des films. Par la seule magie du mouvement, la directrice de la troupe Kidd Pivot réussit, dans The You Show, à transformer la scène en un vaste écran de projection vivant.

— Richard Boisvert, Le Soleil

Conscience de soi et amour idyllique, douleur et conflit intérieur, performance solide dans une fragile maison de verre; The You Show, c’est tout cela et la lecture que le spectateur souhaite en faire. Parce que chacun peut s’y retrouver.

— Annie Boutet, Fiesta Québec

La chorégraphe Crystal Pite le reconnaît, elle aime que ses spectacles soient accessibles au plus grand nombre. Si certains ont envie de le lui reprocher, c’est leur problème. Pour elle, l’important est d’offrir au public plus d’un niveau de lecture à la fois et de mettre le plus de monde possible dans le coup. Il faut admettre qu’avec The You Show, elle s’est donné de bonnes chances d’y arriver.

— Richard Boisvert, Le Soleil