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Alan Lake: une collaboration essentielle par Raphaëlle Plante, Le Soleil

Le Soleil poursuit son cycle d’entrevues qui illustre les jalons marquants des 20 ans de La Rotonde.

Alan Lake, qui ouvrira la saison de La Rotonde dès le 11 octobre, montre l’affiche de son précédent spectacle, Ravages, présenté en mai 2015.
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL, JEAN-MARIE VILLENEUVE

(Québec) Peu de temps après sa sortie de l’École de danse de Québec en 2007, l’interprète, chorégraphe, réalisateur et artiste en arts visuels Alan Lake planche sur la création de Chaudières, déplacements et paysages, son premier spectacle qui sera présenté par La Rotonde, en 2009.

La Rotonde, je les appelle un peu mes mécènes artistiques. Ils accueillent l’artiste et le laissent aller [dans sa création]», décrit M. Lake, qui qualifie la collaboration avec le diffuseur d’essentielle pour aller à la rencontre du public. «Créer, on fait ça d’abord pour nous, mais c’est aussi pour pouvoir le partager avec les gens», souligne l’artiste pluridisciplinaire, qui combine à la danse les arts visuels et la vidéo.

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M. Lake s’enthousiasme pour l’ouverture de la Maison pour la danse, prévue à l’hiver ou au printemps 2017, laquelle lui permettra d’avoir accès à de nouveaux studios pour créer. «Faire de la recherche fondamentale, tester, c’est important», signale-t-il.

La dernière création d’Alan Lake, Les caveaux, ouvrira la saison 2016-2017 de La Rotonde à compter du 11 octobre. Et, fait inusité, elle sera présentée dans un «lieu mystère». «On recrée un théâtre dans un endroit insolite […] On amène les spectateurs dans le lieu de création, qu’on habite, mes danseurs et moi, plusieurs semaines avant les représentations pour s’imprégner de l’environnement», explique le chorégraphe.

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Source: Le Soleil, Raphaëlle Plante.

La Rotonde: rendre la danse accessible depuis 20 ans par Raphaëlle Plante, Le Soleil

La Rotonde, créée en 1996, célèbre 20 ans de diffusion de danse contemporaine à Québec. Le journal Le Soleil nous a proposé une série d’articles pour éclairer nos étapes de développement.

Le directeur général et artistique de La Rotonde, Steve Huot, se tient sur la mezzanine du studio circulaire où tout a commencé pour l’organisme.
LE SOLEIL, PATRICE LAROCHE

(Québec) La Rotonde souffle cette année 20 bougies. L’organisme spécialisé dans la diffusion de la danse contemporaine à Québec poursuit sa mission de faire découvrir cet art au plus grand nombre et célèbre tout le chemin parcouru depuis deux décennies. Coup d’oeil sur son histoire, ses réalisations et ses projets à venir.

L’origine

Le directeur général et artistique de La Rotonde, Steve Huot, explique la genèse de l’organisme né en 1996: «L’idée est venue du directeur artistique de la compagnie Danse Partout à l’époque, qui souhaitait mettre sur pied un organisme pouvant soutenir les activités des danseurs de la compagnie qui vivent à Québec.»

Dès sa naissance, La Rotonde a un double mandat: celui de diffuseur spécialisé en danse contemporaine offrant une programmation régulière, en saison, à Québec, mais aussi celui de centre chorégraphique offrant des services aux artistes professionnels de la région – avant tout des locaux adaptés à la pratique de la danse.

La Rotonde devient alors une entité du Groupe Danse Partout, qui comprend également la compagnie de danse ainsi que l’École de danse de Québec. Mais pourquoi ce nom? «Le studio La Rotonde [qui se trouve dans l’École de danse] appartenait à la compagnie Danse Partout, c’est là qu’elle créait ses spectacles», signale M. Huot.

Et ce studio avait, incidemment, la forme circulaire d’une rotonde. La troupe de danse a cessé ses activités à peu près en même temps que La Rotonde est née, mais les danseurs de la compagnie sont restés à Québec, ajoute-t-il. «En parallèle, l’École continue de croître, à un point tel qu’en 2002 elle est la principale utilisatrice du studio La Rotonde. Les [danseurs] professionnels n’ont plus d’espace dans l’horaire et l’organisme décide de quitter l’endroit, qui est renommé le studio Jean-Pierre-Paradis», explique celui qui est devenu directeur de La Rotonde en 2007.

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Source: Le Soleil, Raphaëlle Plante.

Les rendez-vous de l’automne – Le Soleil

Infographie Le Soleil

(Québec) L’équipe des arts du Soleil vous propose aujourd’hui les rendez-vous à ne pas manquer pendant la saison des couleurs. Que vous soyez passionnés de musique, de danse, d’humour, d’arts visuels ou de théâtre, voici les dates à inscrire à votre agenda culturel.

Une compilation de Daphné Bédard, Geneviève Bouchard, Josianne Desloges, Nicolas Houle et Éric Moreault.

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Danse

Danse de nuit

Il y avait quelques années que Karine Ledoyen n’avait pas présenté de nouveau matériel avec sa compagnie Danse K par K qui vient de célébrer son 10^e anniversaire. Elle revient avec une sixième création, Danse de nuit, qui explore, comme son nom le dit, la vie nocturne sous toutes ses facettes. La conception sonore et technologique porte la griffe de Patrick Saint-Denis, inventeur de la machine à vent interactive dans une autre pièce de Danse K par K, Trois paysages. Grâce au travail de Saint-Denis, la chorégraphe réussira à faire danser les mots en créant une musique en direct à partir de battements de coeur. Intrigant!

Du 26 au 28 octobre à la salle Multi de Méduse

Le jardin des délices

Un spectacle de Marie Chouinard est toujours déstabilisant. On aime ou pas le style flamboyant de la chorégraphe aux cheveux de feu née à Québec, qui a récemment été nommée à la direction de la danse de la Biennale de Venise. L’univers du peintre néerlandais Jérôme Bosch – décédé il y a 500 ans -, et plus précisément son triptyque Le jardin des délices, a inspiré Marie Chouinard pour sa dernière création. Divisée en trois actes, la pièce pour 10 danseurs s’inscrit dans l’univers éclaté et charnel de la chorégraphe. Elle sera présentée en première québécoise au Grand Théâtre après avoir foulé les scènes des Pays-Bas, de l’Espagne, de l’Autriche, de l’Italie et de la Belgique.

Le 1^er novembre à la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre

Corps, amour, anarchie

Le grand chanteur Léo Ferré aurait eu 100 ans. Dans le spectacle Corps, amour, anarchie, six danseurs, quatre chanteurs et cinq musiciens se rassemblent pour rendre hommage à son oeuvre. Les chorégraphes Hélène Blackburn, David Rancourt et Pierre-Paul Savoie traduisent en gestes les chansons de l’auteur-compositeur monégasque, alors que les chanteurs Alexandre Désilets, Bïa, Philppe B et Michel Faubert prêtent leurs voix à ce spectacle multidisciplinaire. Une soirée qu’on prédit haute en émotions.

Les 6 et 7 décembre à la salle Octave-Crémazie du Grand Théâtre

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Source: Le Soleil, Daphné Bédard, Geneviève Bouchard, Josianne Desloges, Nicolas Houle et Éric Moreault.

En tête à tête avec La Tresse – Lèche-Vitrine

Il suffit d’entrelacer trois mèches pour faire une tresse.

En tête-à-tête avec Geneviève Boulet, Erin O’Loughlin et Laura Toma, j’ai eu la chance de découvrir le nœud que forme La Tresse, un collectif de danse contemporaine basé à Montréal, qui présentera au Festival Quartiers Danses sa toute dernière création Beauté Brute : Volume II.

Donnant le ton à la rencontre, c’est sur l’air de la chanson I’m every women de Whitney Houston que les trois danseuses m’ont d’abord présenté l’un des tableaux de leur chorégraphie. Quelques minutes ont suffi à me faire vivre la qualité expressive de leur travail, car c’est à travers des mouvements vifs que La Tresse explore le corps jusqu’au plus infimes détails. Mains, doigts, pieds, visages, tout y passe, révélant une approche plus esthétique que ce qui se fait actuellement à Montréal.

Ce n’est pas étonnant, car c’est à Tel-Aviv en 2012 que le groupe s’est d’abord rencontré. Inspirées par la danse israélienne, plutôt gracieuse et axée sur les détails, Geneviève Boulet et Erin O’Loughlin participent à un stage de danse Gaga avec la compagnie Batsheva. Laura Toma y gradue la même année comme professeure. Le Gaga est un style unique qui favorise le langage corporel par l’exploration de schémas inhabituels de mouvements. Il en résulte des gestes délicats, détaillés, affranchis des conventions et en relation avec l’espace.

L’année d’après, La Tresse se noue définitivement à Montréal. L’urgence de réfléchir et d’explorer des thèmes qu’elles affectionnent les amène à travailler ensemble. « C’est comme trouver son partenaire de vie, c’est ça qu’on vit. On s’est trouvé et c’était clair qu’il fallait qu’il se passe quelque chose », me confie Geneviève Boulet. Cette affinité commune basée sur une recherche esthétique du corps, entraîne les danseuses à créer des chorégraphies léchées aux gestes libres et émancipés.

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Source: Blogue Lèche-Vitrine, Juliette Marzano.

Les Milles Grues – Danse contemporaine et théâtre d’ombres par Geneviève Duong – Les Journées de la Culture

Illustration: Christian Quesnel, inspiré du visage de Mélanie Therrien

Les Milles Grues – Danse contemporaine et théâtre d’ombres.
Gratuit dans le cadre des Journées de la Culture.

Samedi 1er octobre 2016 dans le foyer de la salle Louis-Fréchette au Grand Théâtre de Québec.

2 représentations à 10h et à 14h. Atelier et spectacle d’une durée d’1h10.

Un coprésentation de La Rotonde et du Grand Théâtre de Québec, sur une idée originale de Geneviève Duong.

Les Mille Grues est un spectacle participatif qui allie danse contemporaine et théâtre d’ombres, empreint de douceur et de retenue, qui témoigne de l’héritage culturel asiatique de la chorégraphe, Geneviève Duong. Ses inspirations pour ce projet proviennent de mythes asiatiques, de témoignages, ainsi que de son propre regard sur l’exode des vietnamiens au Québec à la fin des années soixante-dix. La danse illustrera une réalité sans artifice d’une réfugiée, incarnée par l’interprète Mélanie Therrien, juxtaposée au théâtre d’ombres qui permettra de déployer un univers onirique, ancré dans l’imaginaire du protagoniste. La rencontre de ces deux univers permettra d’articuler la quête du personnage, soit la création d’une nouvelle identité pérenne.

Le public sera invité à déambuler dans un espace immersif, visuel et sonore, qui invitera au recueillement et diriger son regard vers trois stations d’ombres, qui permettront à l’histoire de progresser. Tout au long de la performance, il sera témoin des mécanismes et jeux de lumières permettant au théâtre d’ombres et à la danse de s’articuler. Les individus qui auront participé à l’atelier seront invités à réaliser une intervention volontaire et simple pendant le spectacle, afin de témoigner cette rencontre entre l’Orient et l’Occident, et symboliser la réalisation d’un vœu, l’envolée de soi.

Équipe d’artistes

Geneviève Duong, chorégraphie / Mélanie Therrien, interprétation / Étienne Lambert, musique et théâtre physique / Katia Talbot, scénographie / Luc Vallée, éclairages / Léa Touzé et Marie-Chantale Béland, assistance à la création / Marie-France Thibault et Mélanie Rivet, mentorat

Partenaires

Les Journées de la culture, Grand Théâtre de Québec et La Rotonde (diffusion)

Première Ovation et Périscope (recherche et création)

Affamée, j’avale

L’immensité des eaux.

Mes yeux voilés de larmes,

Je m’accroche à l’instant.

Je rame le vide,

Je vois le vide,

Terre rare,

Objet d’obsession.

Désespérément s’agite l’enfant à naitre.

Une main se pose, puis le pied,

La tête aussi.

Ici, maintenant,

Perles de sueur s’effacent.

La Traversée, texte écrit par Geneviève Duong

Offre d’emploi – Directeur technique – Le Groupe Danse Partout inc.

Le titulaire de ce poste a comme mandat de planifier, coordonner, diriger et contrôler toutes les activités découlant des opérations scénographiques, techniques et d’entretien qui ont cours dans les établissements du Groupe et sur les autres lieux utilisés par l’organisation pour la réalisation de la programmation de services de ses trois entités. La direction technique participe à l’analyse des projets artistiques et assume la planification et la coordination de leur réalisation technique. Il coordonne et contrôle le travail du personnel technique et des ressources externes nécessaires à ces différentes opérations et s’assure du respect des normes de sécurité applicables.

Le titulaire est aussi responsable de la planification des besoins, de la sélection, de l’intégration, de l’entretien et de l’entreposage des équipements scénographiques et techniques du Groupe dans les divers lieux utilisés. De plus, il élabore et gère les programmes de maintien des actifs et d’entretien de l’édifice de la Maison pour la danse de Québec et de certains aspects des espaces locatifs de L’École de danse de Québec.

Sommaire des mandats

VOLET CHANTIER DE CONSTRUCTION (MAISON POUR LA DANSE)

Participe activement aux processus de sélection, d’acquisition et d’intégration des différents équipements scéniques et techniques;
Prend en charge la livraison des différents systèmes de la mécanique du bâtiment, de contrôle d’accès ainsi que des différentes infrastructures de technologies de l’information et de communication.

VOLET DIRECTION TECHNIQUE

Assure le bon fonctionnement, l’entretien, le remplacement et l’évolution du parc d’équipements scéniques et techniques du Groupe;
Offre une assistance technique auprès des employés, artistes et autres utilisateurs des studios et espaces du Groupe;
Veille à répondre aux besoins scéniques et techniques liés aux spectacles, prestations publiques et projets spéciaux produits, réalisés ou diffusés par chacune des entités du Groupe en divers lieux, pouvant parfois inclure de la conception.

VOLET GESTION ET ENTRETIEN D’ÉDIFICES

Assure le bon fonctionnement, l’entretien, le remplacement et l’évolution des systèmes de mécanique du bâtiment, de contrôle d’accès ainsi que des différentes infrastructures de technologies de l’information et de communication du Groupe;
Gère les opérations de travaux mineurs et d’entretien.

VOLET GESTION DE RESSOURCES HUMAINES

Gère les ressources techniques employées par le Groupe;
Veille au respect des normes de sécurité.

Compétences et connaissances requises

Formation et expérience

Diplôme d’études collégiales en production ou formation d’une école spécialisée (ou combinaison de formation et/ou expérience jugée équivalente dans un domaine relié à l’emploi).
Expérience professionnelle minimale de cinq (5) ans dans le domaine de la technique de scène, incluant de la direction technique.
Expérience dans le secteur de la danse, un atout.
Expérience en gestion d’édifice ou en gestion de chantier de construction, un atout.

Connaissances en gestion de projet et de services :

Excellentes capacités en gestion de projets et en organisation du travail (gestion des priorités, travail sous pression, etc.);
Aptitudes en gestion budgétaire;
Habileté dans la coordination d’équipes de travail.

Connaissances techniques :

Connaissance approfondie des procédés techniques reliés aux métiers de la scène (ex: électricité, éclairage, menuiserie, mécanique, informatique, structure et construction, sonorisation et gréage);
Excellente capacité dans l’analyse et la résolution de problèmes de nature scéniques, techniques et mécaniques;
Connaissance des processus de production menant à la réalisation d’un projet artistique, particulièrement dans la discipline de la danse;
Très bonne connaissance des logiciels Autocad, Word et Excel.

Connaissances de l’environnement interne et externe :

Excellente connaissance des ressources et fournisseurs locaux en équipements et services scéniques et techniques.

Qualités recherchées :

Grand sens de l’organisation, autonomie, initiative et leadership, loyauté et sens de l’éthique, excellentes aptitudes au plan des relations interpersonnelles.

Emploi annuel à temps plein.
Sur une base de 35 h par semaine, selon un horaire varié, jour, soir et fin de semaine.
Salaire selon échelle salariale en vigueur, à déterminer selon expérience.
Entrée en poste : Automne 2016.

Faire parvenir votre candidature par courriel à ccouturier@ledq.qc.ca avant le 6 septembre 2016.

Veuillez prendre note que seules les personnes retenues seront contactées pour une entrevue.

De Scène en scène devient Le Regroupement De Scènes en Musées

Le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) et les Musées de la Civilisation joignent le regroupement De Scène en scène – composé initialement du Théâtre jeunesse Les Gros Becs, de l’Orchestre symphonique de Québec et de La Rotonde, diffuseur spécialisé en danse contemporaine – et forment désormais le Regroupement De Scènes en Musées.

Les directeurs généraux des cinq organisations membres du regroupement : Louise Dionne, Théâtre jeunesse Les Gros Becs, Stéphan La Roche, Musées de la civilisation, Line Ouellet, Musée national des beaux-arts du Québec, Steve Huot, La Rotonde, diffuseur spécialisé en danse contemporaine et Astrid Chouinard, Orchestre symphonique de Québec

Dédié à la diffusion des arts de la scène en milieu scolaire depuis 1998 et destiné à faciliter le choix des enseignants pour leurs sorties culturelles, le Regroupement De Scènes en Musées intègre maintenant les visites et les activités dirigées en lien avec les expositions et les collections des deux principaux musées de Québec.

En plus d’offrir aux enseignants un outil unique de consultation, ce projet innovant leur permet avant tout de bénéficier d’une programmation culturelle variée et complémentaire.

À cette grande diversité, s’ajoute également la possibilité de bonifier l’expérience avec l’ajout de visites guidées, d’activités dirigées, d’ateliers de création et de préparation aux spectacles, et ce, à une tarification des plus accessibles.

Chaque membre de ce nouveau regroupement est reconnu comme une référence professionnelle dans son milieu. Une assurance de qualité pour le professeur quand vient le temps de choisir la sortie scolaire qu’il fera avec ses élèves.

Par sa mission, le Regroupement De Scènes en Musées est fier de stimuler l’imagination des jeunes, de développer leur sens critique et de contribuer au dynamisme de la vie culturelle de Québec! Des sorties qui permettent aussi d’illustrer de manière concrète et vivante les apprentissages liés au Programme de formation de l’école québécoise (PFEQ).

Afin de mieux faire connaître le Regroupement De Scènes en Musées et son offre culturelle, une soirée des enseignants est prévue le 21 septembre prochain, de 17h30 à 20h, au Musée national des beaux-arts du Québec pour leur permettre de rencontrer les cinq organismes membres et ainsi être bien outillés quand viendra le temps de faire leurs choix.

Source : Louise Dionne, gestionnaire du Regroupement, Théâtre Les Gros Becs, 418 522-7880 direction@lesgrosbecs.qc.ca / Linda Tremblay, MNBAQ, linda.tremblay@mnbaq.org / Serge Poulin, MCQ, Serge.Poulin@mcq.org / Sandrine Lambert, La Rotonde, sandrine.lambert@larotonde.qc.ca / Emmanuelle Péquin, L’OSQ, epequin@osq.org

Relations de presse : Communications Paulette Dufour, 418 525-5455, pdufourcom@videotron.ca

Retrouvez le communiqué en pdf ici.

Soirées Matchs d’Improvisation de danse (SMID) par Code Universel

Les SMID, ou Soirées Matchs d’Improvisation de Danse, explorent la spontanéité inhérente au 4ème art, tout en le rendant accessible à un plus large public.

Deux équipes de danseurs professionnels rivalisent d’inventivité sous le regard d’un arbitre impartial, d’un maitre de cérémonie cocasse et d’une jolie hôtesse frivole. Au fil des thèmes et accompagnés de musiciens live et d’un vidéo-jockey, les danseurs tentent de gagner le vote du public, lequel peut aussi proposer des mouvements aux interprètes. Le 9 juillet à 19h30, sur la scène de l’Agora de la Maison Girardin, deux équipes de quatre danseurs chacune viendront alimenter la rivalité entre Québec. Un invité surprise viendra également les rejoindre sur scène. Les SMID ont déjà été présentées à plusieurs reprises à Québec et à Montréal. Dans une ambiance de cabaret interactive électrisante, les spectateurs de Beauport pourront découvrir la danse contemporaine. L’occasion d’une sortie en famille divertissante. Le spectacle sera précédé d’une courte représentation clôturant la semaine de résidence de collaboration trois danseurs de la compagnie acadienne DansEncorps et trois danseurs de Code Universel dans le cadre d’un projet de collaboration transprovincial.

La tenue de cette soirée est rendue possible grâce au soutien de l’Entente de développement culturel entre la Ville de Québec et le Ministère de la Culture et des Communications, et du Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes.

Quand ? Le samedi 9 juillet à 19h30.

Où ? Scène de l’Agora de la Maison Girardin

600, avenue Royale, Beauport, Québec, G1E 7G3

En cas de pluie : Centre de Loisirs Monseigneur-de-Laval

À propos de Code Universel : Fondée à Québec en 2003 par le danseur et chorégraphe Daniel Bélanger, Code Universel se distingue par des spectacles multidisciplinaires dont l’axe principal est la danse contemporaine. L’intégration des technologies est également au coeur du processus de création. Code Universel veut ainsi toucher un public varié tant par l’originalité, la pluralité et l’universalité de ses oeuvres que par les actions humanistes qu’elle entreprend. Très active dans le milieu culturel de Québec, Code Universel a créé des oeuvres dont certaines ont connu une visibilité à l’international.

Informations : Cécile Duperron, 581-777-3491 ou coordination@codeuniversel.com

Source : Cécile Duperron, Coordinatrice générale (Code Universel)